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dimanche 13 novembre 2016

Rencontre avec le Père Patrik Débois le 7 Décembre 2016 à 19h30

https://allevents.in/paris/rencontre-littéraire-avec-le-père-patrick-desbois/176827826111553


Lamartine vous invite, en partenariat avec l’ULIF Copernic et le MJLF à une rencontre exceptionnelle avec le Père Patrick Desbois pour son livre « La fabrique des terroristes » (Fayard),Mercredi 07 décembre 2016 à 19h30 à l’ULIF, 24 rue Copernic – 75016 Paris.
Le massacre des Yazidis par l’État islamique n’a pas d’autre nom : c’est un génocide.Dans les camps de réfugiés du Kurdistan irakien, Le Père Desbois et Nastasie Costel ont interviewé plus de cent survivants. Ces esclaves de Daech ont observé leurs tortionnaires et vu les lieux tenus secrets de l’organisation.
Pour participer à cette rencontre, votre inscription gratuite est obligatoire. Merci de contacter par mail :laurenceferet@lamartine.fr, en précisant vos nom, prénom, numéro de téléphone et nombre d’invitations souhaitées. Un mail de confirmation vous sera adressé en retour. Patrick Desbois ULIF Copernic Mouvement Juif Libéral de France ( MJLF)


Le massacre des Yazidis par l'Etat islamique n'a pas d'autre nom : c'est un génocide. Dans les camps de réfugiés du Kurdistan irakien, Le Père Desbois et Nastasie Costel ont interviewé plus de cent survivants. Ces esclaves de Daech ont observé leurs tortionnaires et vu les lieux tenus secrets de l'organisation. Sexe, meurtres et argent, leurs révélations fracassent les apparences. Ceux qui se présentent comme des "soldats de Dieu" n'ont pour ambition que le pouvoir. L'EI ne promet pas le Paradis après la mort, elle l'offre sur terre. Pour cela, il leur faut des outils : les Yazidis. Les hommes, inutiles lorsqu'ils refusent de prêter allégeance, sont éliminés. Les femmes deviennent esclaves sexuelles ou reproductrices, dont la progéniture viendra grossir les rangs de l'organisation. Les enfants, des soldats. Avec retenue, émotion et intelligence, le Père Desbois se penche une fois de plus sur la mémoire des oubliés des guerres, nous plongeant au coeur de ce qu'il convient bien d'appeler par son nom : un génocide "utilitaire". La voix, humaine, qu'il manquait.

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